Lafamille METAIS est heureuse de partager avec vous sa passion pour l'élevage des vaches laitières et leur bon lait BIO, en vous proposant la vente directe de produits laitiers. Transformés à la ferme dans notre laboratoire, nous vous offrons ainsi des produits de qualité qui vous permettront de retrouver Tous les Plaisirs du Goût.
Ilpropose à la vente du Maroilles, le sorbais, le quart, le mignon et des flamiches. Boutique sur place et possibilité de commander en ligne certains produits. Le Pont de Sains, 59610 Féron. Tel : 03 27 60 83 89 | Courriel : serres@fermedupontdesains.com. Infos, produits, boutique sur le site de la ferme.
Lavente directe de produits frais et fermiers, du producteur au consommateur ! Retrouvez tous nos points de vente sur notre site internet. En vente à la ferme, mais aussi sur des marchés, dans des magasins ou sur des Drive fermiers, les agriculteurs vous proposent la production de leur exploitation : vente directe de légumes et de fruits, de viande (agneau, porc, veau, bœuf,
Venezdécouvrir la Ferme de Grémi et son élevage d'animaux en plein air : porcs de Bayeux, brebis solognote ou encore vaches Charolaise. Vente directe de viande de qualité du producteur au particulier près de Sainte Cécile, Villedieu-les-Poêles-Rouffigny, St Lô, Vire, Granville, Avranches, Coutances dans le sud Manche en Normandie.
Viandede PORC 2022 Samedi 29 janvier Samedi 26 février Samedi 26 mars Samedi 23 avril Samedi 14 mai Samedi 4 juin Samedi 18 juin de 10h à 12h30 à la Ferme de Petit Beusse Commandez ICI Vente au détail, OUVERT à tous (même si vous n'avez pas commandez!)
Découvrezles produits d’exception de La Ferme des Esclapats (Lien vers la page « Accueil »). Spécialisée dans l’élevage caprin à Castelferrus, l’exploitation d’Anthony CARAMELO défend une approche respectueuse pour garantir le bien-être des animaux ainsi qu’une qualité unique de lait.
LaFerme des Violettes vous propose la vente directe de produits fermiers et spécialités régionales directement issus de producteurs. Connexion . Contactez-nous. Besoin d'aide ? 05 34 27 47 83. Produits fermiers et spécialités régionales. Panier. 0 0 (vide) Aucun produit. 0,00 € Total. Commander. Produit ajouté au panier avec succès. Quantité. Total. Il y a 0 produits
Profitezde notre boutique à la ferme à Droué (41). Vous retrouverez tous nos produits en libre accès, des glaces artisanales fabriquées au sein de notre laboratoire dans notre ferme : crèmes glacées, sorbets, confitures Venez goûter et déguster les glaces au lait de vache en vente directe à la ferme à Droué (41) en choisissant votre parfum préféré parmi une large gamme
Depuisle retour de Romain, la fromagerie a été construite à la ferme où sont désormais produits des fromages au lait cru bio made in Côtes d’Armor. La ferme Les Prairies de la Noé vous propose aujourd'hui toute une sélection de fromages fermiers au lait cru BIO et beurre de baratte, en vente dans le local à la ferme ainsi qu'en
Davril à octobre, nous trayons soixante-dix brebis laitières, le lait est transformé à la ferme: en yaourts et fromages . Notre production de fromages est certifiée Bio depuis plusieurs années. Vente directe à la ferme et dans plusieurs magasins du Haut-Jura (Bioccop, fruitières, épiceries) Nos Brebis : Le troupeau a été constitué à partir d'une race rustique de montagne: la
Vq8quv. Le journal RTL de 18h du 24 août 2022 001630 Les infos de 18h - Pouvoir d'achat les producteurs de lait débarquent dans les hypermarchés pour s 001630 Les éleveurs sont en colère et multiplient les opérations coup de poing dans les grandes surfaces. En effet, la brique de lait y est vendue 0,80 centimes seulement. Leur objectif est de ramener le prix à 0,99 centimes pour sauvegarder les exploitations. C'était le cas ce midi, mercredi 24 août, dans un hypermarché Leclerc de Saint-Amand-les-Eaux dans les Hauts-de-France. Les éleveurs nordistes ne sont pas passés inaperçus dans les rayons. Chaque brique de lait a soigneusement été réétiquetée avec un message "Ce prix ne permet pas de nourrir mes bêtes". "On colle une petite étiquette pour dire que ces laits sont vendus mais ne rémunèrent pas l'agriculteur", explique l'un d'eux. "On gagne encore moins qu'avant", poursuit un autre. "Ils sont en train de détruire l'agriculture française, on ne va pas mourir sans rien dire", s'exclame une éleveuse. En ce moment, les exploitants cumulent les hausses de charge et la sécheresse. Selon eux, la grande distribution doit donc faire un effort. "S'ils se moquent de nous, on peut le faire aussi. Avec quatre, cinq, six tracteurs on peut bloquer l'entrée", prévient Étienne, un éleveur. Des agriculteurs étiquettent les briques de lait vendues trop peu cher pour qu'ils puissent gagner leur vie décemment Crédit Franck Antson Les consommateurs sont pourtant assez compréhensifs. "Chacun doit pouvoir vivre de son travail", pense une consommatrice qui affirme être prête à payer plus chère la brique de lait si "ça arrive au producteur". Demain, les éleveurs comptent poursuivre leur action et cibler d'autres coopératives et magasins. À écouter également dans ce journalPolitique - En préambule du Conseil des ministres à la rentrée, Emmanuel Macron a voulu préparer les Français à un changement de rythme. Possible coupure de courant, fin du "quoi qu'il en coûte" pour palier l'inflation... Le chef de l'État a averti les Français dans un ton grave. Énergie - Après une longue série de crise, le gouvernement va présenter en septembre un projet de loi pour accélérer tous les projets de production d'énergie ainsi qu'un plan pour sécuriser les approvisionnements. Cyber-attaque - Après l'hôpital de Corbeil-Essonnes, c'est au tour d'un EHPAD situé dans l'Eure d'être victime d'une cyber-attaque. L'établissement assure que la prise en charge des résidents n'est pas impacté. L’actualité par la rédaction de RTL dans votre boîte mail. Grâce à votre compte RTL abonnez-vous à la newsletter RTL info pour suivre toute l'actualité au quotidien S’abonner à la Newsletter RTL Info
ServerName waf-master-vm LocalTime August 30, 2022, 156 am TransactionID 3faf36c95f31182d8e6e1b6a5ba55156Remote Address Country UkraineUA Method GET Requested URL Protocol HTTP/ User Agent Mozilla/ Windows NT Win64; x64 AppleWebKit/ KHTML, like Gecko Chrome/ Safari/ Please contact the webmaster of this website and provide the information above if you think this is a mistake. return to
Notre vision de l’agriculture ne se limite pas à être de simples producteurs, avance Jean-Baptiste Gorisse, l’un des trois associés de la Ferme du Tout Vent à Beaufort dans le Nord. En nous installant mes frères et moi, nous avons voulu aller plus loin décider de nos prix, de nos débouchés et connaître nos clients. Aujourd’hui, il faut créer de la valeur ajoutée pour s’en sortir. » Dès 2005, les associés ont fait le choix de la vente directe. En moyenne, tous produits confondus, ils valorisent le lait à hauteur de 70 centimes le litre, soit nettement mieux qu’en le vendant à la laiterie à 30 centimes en moyenne sur le dernier exercice. Étant donné le volume de lait produit, nous sommes forcément impactés par la crise, mais cela nous conforte dans notre stratégie. » Le Gaec produit 1,6 million de litres de lait dont 30 % est transformé en produits laitiers divers et le reste livré à Lactalis. La structure emploie 11 salariés, dont 7 dédiés à l’atelier de transformation et au magasin. Nous nous trouvons davantage dans la configuration d’une gestion d’entreprise que d’une ferme familiale », avance Mathieu Gorisse, installé en 2011. Au sein du Gaec, les rôles sont clairement répartis Étienne est responsable de l’atelier vaches laitières, Mathieu s’occupe des cultures et Jean-Baptiste gère toute la partie transformation et vente. Jean-Baptiste affiche un parcours plutôt atypique. Muni d’un BTS agricole, il a fait des stages sur des élevages pratiquant la vente directe avant d’enchaîner avec une école de commerce en agroalimentaire à Paris. Après une expérience en GMS, il succède à son père sur la ferme familiale et s’installe aux côtés de son frère et de sa mère, en 2005. À l’époque, l’exploitation est assez diversifiée et produit encore 35 vaches allaitantes et des porcs à l’engraissement 100 places, en plus de 600 000 litres de lait. L’activité a pris de l’ampleur progressivement J’ai lancé le projet de transformation fermière dès mon installation à la fois par affinité car j’aime vraiment cela, mais aussi par nécessité car il fallait bien créer une activité, avance-t-il. J’ai effectué moi-même l’étude de marché. L'important, c’est de prendre le temps de se questionner et de bien cibler les attentes des clients. » En 2006, un atelier de transformation aux normes européennes est construit et un magasin de vente à la ferme ouvre ses portes. Situé près d’un axe très passant RN2 à quelques kilomètres de Maubeuge 30 000 habitants et à proximité d’un gros centre commercial, le magasin propose du mercredi au samedi, ses propres produits laitiers fromages frais, yaourts, beurre, crème fraîche, crèmes dessert, fromages… mais aussi de la viande1, de la charcuterie, des légumes, des jus de fruits fermiers et des bières artisanales qui viennent d’autres producteurs locaux. Proposer une offre diversifiée, c’est vraiment un plus pour attirer le chaland.» Dans les premiers temps, la vente se faisait uniquement sur place, puis les livraisons auprès de commerces de proximité ont démarré. Nous n’avons pas fait le choix de faire les marchés car cela prend trop de temps. Au départ, nous avons commencé en transformant 15 000 litres. Nous avons préféré démarrer petit et avancer prudemment, sans répondre trop vite à la demande. L’objectif a toujours été de continuer à évoluer mais de façon construite », souligne le producteur, pragmatique et rationnel. Diversifier les circuits de vente et la gamme de produits Le bouche-à -oreille porte ses fruits rapidement. En 2008, ce sont les GMS qui sont venues à nous pour quelques produits d’appel comme le beurre. Nous avons accepté mais à condition de leur vendre aussi nos yaourts et crèmes dessert, qui nous permettent de mieux valoriser le lait. Travailler avec les GMS, ce n’est forcément PAS évident tous les jours. Il faut négocier et assurer les volumes derrière. Pas question non plus pour nous de leur servir de faire-valoir. Soit je sens l’écoute de mon interlocuteur, soit je ne perds pas mon temps. » Peu à peu, les producteurs travaillent avec davantage de commerces de proximité et de magasins spécialisés en produits fermiers, notamment en région lilloise. Ils livrent eux-mêmes dans un rayon de 100 à 150 km, et font appel à des transporteurs au-delà . Nous avons aussi quelques clients en restauration collective collèges. » L’activité de vente directe grandissant, il a fallu faire des choix sur l’exploitation. Nous avons recentré nos efforts uniquement sur le lait afin de mieux diversifier nos produits et circuits commerciaux. » Les porcs ont été arrêtés en 2009 et les vaches allaitantes en 2011. Dans le même temps, la stabulation des laitières a doublé sa capacité d’accueil pour loger 200 vaches. L’exigence des clients toujours au cœur du projet Aujourd’hui, le facteur limitant de l’exploitation, c’est la main-d’œuvre. Les trois associés travaillent entre 12 et 14 heures par jour, 12 jours sur 14. Nous sommes contraints de sélectionner nos clients, reconnaît Jean-Baptiste. On s’impose des impératifs de distance, de volumes à livrer… Nous préférons assurer avec nos clients existants plutôt que de nous éparpiller. Ces dernières années, nous sommes davantage dans une dynamique de diversité de gamme que de développement des circuits commerciaux. » L’exploitation compte 90 références réparties dans cinq gammes de produits. Mousses au chocolat, desserts liégeois, glaces, sorbets, desserts glacés, chantilly, crèmes anglaises se sont ajoutés à la panoplie de produits existants. Diversifier notre palette nous rend plus pertinents face à nos clients revendeurs. Ils voient que nous sommes créatifs, et cela augmente aussi les chances de faire davantage de volumes de vente. » Une activité qui exige de nombreuses compétences L’an dernier, nous avons reçu des éleveurs laitiers qui se questionnaient sur la vente directe lors d’une journée portes ouvertes. Ils n’imaginaient pas tout ce que cela implique ! En termes de temps, d’implication et de résultats économiques. L’activité n’est pas rentable tout de suite. Cela fait 10 ans que l’on investit, que l’on se forme à la transformation, à la gestion sociale, au commerce, au management... Ce n’est ni facile ni de tout repos ! Il faut arriver à suivre toutes ces évolutions ! », expose Jean-Baptiste. L’association régionale des vendeurs directs aide les exploitants dans leur projet. Aujourd’hui, nous vivons de notre activité mais notre taux horaire est en dessous du Smic car nous avons beaucoup investi et sommes en train d’asseoir notre outil ! Une activité comme la nôtre, montée de toutes pièces, ne devient pleinement rentable qu’à partir du moment où le bâti est remboursé », estiment les exploitants. Ils comptent développer les volumes vendus en optimisant mieux la main-d’œuvre et en mettant à profit les compétences de chacun. Aujourd’hui, l'atelier de transformation nous permet d’avoir une évolution à deux chiffres de notre résultat d’exploitation malgré la conjoncture défavorable, mentionne Jean-Baptiste. Si j’ai un conseil à donner, c’est vraiment de se lancer progressivement à la fois pour éviter la casse au niveau financier et sur la partie hygiène et sanitaire qu’il faut évidemment maîtriser parfaitement. » 1 Achat sur pied ou en carcasse et transformée à la ferme.